Résumé :
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L’historiographie de l’alimentation, lato sensu, et, plus spécifiquement, du fait culinaire, entendu comme « faire, écrire et penser la cuisine » (p. 8), est foisonnante. Vingt-cinq ans après la somme 1 coordonnée par le regretté Jean-Louis Flandrin et le toujours actif Massimo Montanari, une nouvelle synthèse, également de très grande qualité, nous est donnée à lire par les éditions Belin. L’ouvrage dirigé par Florent Quellier, éminent spécialiste de l’histoire de l’alimentation à l’époque moderne, embrasse un horizon large qui court de la Préhistoire à nos jours et couvre une aire géographique quelque peu « européocentrée »
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